Lyndon B. Johnson

Comme nous l'avons vu, tout semble indiquer que celui qui avait le plus à gagné dans l'assassinat de Kennedy était certainement Lyndon Johnson. On raconte que même lorsque Kennedy vivait ses dernières heures, son propres conseillé était déja en train de rédiger le mémorandum brisant ses politiques de retrait du Vietnam au profit de Johnson qui savait déjà, de son côté, qu'il allait devenir président dans quelques heures. Cinq mois plus tard, Johnson signe le mémorandum 288 qui provoque l'escalade de violence au Vietnam. Johnson envoie plus de 2 millions et demi de nouveaux soldats au front. Presque 10 millions de soldats, au total, ont été au Vietnam et 60 000  ne reviendront pas vivant aux États-Unis. De plus, on sait qu'il n'a fourni aucune aide à Bob Kennedy pour tenter de trouver les assassins de son frère.

Johnson était, semble t-il, très proche du crime organisé. Des contributions totales de plus d'un demi-millions de dollars lui ont été versées par le milieu en contrepartie de son bloquage d'une loi qui aurait viser l'élimination de la pègre aux États-Unis.

Sur le plan social, Johnson a respecté les politiques de Kennedy, mais c'est là que ça s'arrête. Pour les pays hostiles, il s'est montré très ferme. Mais c'est à sa mort que ses liens avec le crime organisé ont été mis à jour. Il était ami avec Jack Ruby qui a travaillé pour lui.